Albert, petit fils de Joséphine et grand père de mon père Edmond (et de Marie, Arthur et Jean) est remarquable à au moins deux titres:
  • Pour ses travaux et ses inventions sur les hauts fourneaux
  • Pour ses oeuvres poétiques

Ses inventions en matière de hauts fourneaux lui valurent d’avoir son portait accroché dans un hall de l’école Central de Paris dont il était sorti.

Des écrits et photos sont conservés dans une chemise cartonnée grise marquée « Albert et Francois de V » et dans un classeur bleu marqué de même.On y trouvera en particulier une photo prise à l’occasion des noces d’or d’Albert et Emma son épouse (née de Rouville) accompagnée d’une note expliquant qui est qui sur la photo.

Pour ce qui est des poèmes, on les trouvera rassemblés dans le recueil « Epines Fleuries » et dans un vieux classeur vert. Sans se prononcer sur le fond, on notera la très belle calligraphie de la plus part des poèmes. Par exemple voici un extrait du premier poème trouvé dans un livre à couverture rouge sans titre.

« Le poète ordinaire de la Société des pique-nique lozériens » Ainsi se présente-t-il lui-même en signant l’un des poèmes de ce livret.